/ Marie-Jean Sauret est psychanalyste à Toulouse, membre de l’association de psychanalyse Le Pari de Lacan, professeur émérite des universités, chercheur au pôle clinique psychanalytique du sujet et du lien social (LCPI) à l’université Jean-Jaurès. Il a publié entre autres : La différence freudienne (avec Pierre Bruno), Erès, 2019 ; La bataille politique de l’enfant, Erès, 2017 ; L’effet révolutionnaire du symptôme, Erès, 2008.
Intérêt pour l’entretien et sympathie pour le fond et l’auteur, mais pas tout à fait accordé au système de pensé. En effet, la néolibéralisation, telle qu’introduite dans le propos, n’est elle pas, justement, dans le discours de Marie-Jean : « le voleur de jouissance », « le responsable de tout ce qui ne va pas » …(26-28 eme minute) ?
Une parole remarquable. Il importe de souligner le préjugé positiviste et inconscient des neuro-sciences dénoncé avec beaucoup d’humanité par l’auteur de cet entretien.
Merci beaucoup pour ces 2 entretiens d’une qualité exceptionnelle. Plein de travail pour que « le pire [qui] est devant nous » n’arrive pas : si chacun, avec beaucoup, trouve le courage de faire ce pas…
Intérêt pour l’entretien et sympathie pour le fond et l’auteur, mais pas tout à fait accordé au système de pensé. En effet, la néolibéralisation, telle qu’introduite dans le propos, n’est elle pas, justement, dans le discours de Marie-Jean : « le voleur de jouissance », « le responsable de tout ce qui ne va pas » …(26-28 eme minute) ?
Une parole remarquable. Il importe de souligner le préjugé positiviste et inconscient des neuro-sciences dénoncé avec beaucoup d’humanité par l’auteur de cet entretien.
Merci beaucoup pour ces 2 entretiens d’une qualité exceptionnelle. Plein de travail pour que « le pire [qui] est devant nous » n’arrive pas : si chacun, avec beaucoup, trouve le courage de faire ce pas…